Une peintre, Marie-José Marotel, un dessinateur, Jean Philippe Tarquiny dont la technique, la démarche et l’expression différent radicalement, mais dont la recherche est commune : s’exprimer au travers de l’abstraction.
L’abstraction, sans souci de sens et d’intelligibilité ouvre un champ de liberté infini à l’artiste. Les œuvres qui en résultent font appel au ressenti rendant le raisonnement impuissant.
Mais l’abstraction existe-elle ? Ne peut-on discerner dans les œuvres qui s’en réclament des formes, des textures, des reliefs qui font directement lien avec le concret, l’objet figuré ?
C’est le questionnement que Confluences propose.